Les mensonges de Kémi Séba sur de prétendues « violences » à Cotonou confirment une fois de plus le vrai visage du personnage : un agitateur sans responsabilité, un démagogue obsédé par le bruit médiatique, prêt à tout pour exister, même à falsifier la réalité de son propre pays.
Depuis son exil doré à l’étranger, le pseudo-activiste a publié des images truquées et des messages alarmistes, affirmant que « le feu a commencé » au Bénin. En vérité, le seul feu visible est celui de sa haine et de sa folie médiatique. Aucune manifestation, aucun affrontement, aucune émeute : Cotonou vit paisiblement, loin du chaos virtuel inventé par celui qui se prétend “guide des jeunes Africains”.
La fabrique du mensonge
Les prétendues photos de violences sont, après vérification, de vulgaires montages ou des images générées par intelligence artificielle. Kémi Séba ment délibérément à son public, avec l’unique objectif de provoquer, d’agiter, de manipuler les esprits. Son activisme n’a plus rien de panafricain : c’est un spectacle numérique, fondé sur la peur et la désinformation.
Sous couvert de défendre l’Afrique, il dénigre les États africains, alimente les tensions et tente de semer la confusion. Son discours pseudo-révolutionnaire n’est qu’une stratégie d’auto-promotion, un théâtre où il joue le rôle du héros persécuté, pendant que le peuple africain travaille réellement pour son développement.
Un agitateur déconnecté
Kémi Séba se prétend “voix du peuple”, mais il vit à distance, protégé par les privilèges de l’Occident qu’il passe son temps à insulter. Il n’affronte aucun risque, ne supporte aucune conséquence de ses appels à la violence. C’est depuis le confort de ses réseaux sociaux qu’il cherche à enflammer des foules qu’il n’a jamais vues, dans des rues qu’il ne fréquente plus.
Ce comportement irresponsable, fondé sur le mensonge et la manipulation, ne relève plus de la liberté d’expression : c’est de la désinformation volontaire, une attaque directe contre la stabilité du Bénin.
Le Bénin ne tombera pas dans le piège
Le peuple béninois n’est pas dupe. Il sait faire la différence entre les vrais défenseurs de la nation et les pyromanes médiatiques. Cotonou reste debout, paisible, active, pendant que Kémi Séba s’enfonce dans la honte de ses inventions.
La justice et les autorités compétentes doivent désormais examiner avec sérieux ces manipulations, car diffuser des fausses informations pour inciter à la révolte est un acte grave, puni par la loi.
Kémi Séba ne défend pas l’Afrique : il la ridiculise. Il ne libère pas les consciences il les empoisonne. Le Bénin, lui, avance sans haine, sans violence, et sans mensonges.
Kémi Séba, le manipulateur sans scrupules : quand le mensonge devient un métier
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