‎« Au Bénin, le prochain pion françafricain a été officiellement positionné. Il s’appelle Romuald Wadagni, et il est encore plus zélé que Patrice Talon. Si, si, c’est possible. »
‎Ainsi s’exprime Nathalie Yamb, la célèbre agitatrice de réseaux sociaux, qui s’est autoproclamée conscience africaine tout en vivant… en Europe. Une contradiction qu’elle cultive avec un art consommé de l’hypocrisie.

‎Car enfin, de quoi parle-t-on ?
‎Madame Yamb, qui aime distribuer les mauvais points à toute l’Afrique francophone, choisit aujourd’hui de s’attaquer au Bénin, modèle démocratique du continent. Oui, le Bénin ! Ce pays où la limitation des mandats est respectée, où l’alternance politique est réelle, et où la mouvance présidentielle vient de positionner Romuald Wadagni, une figure jeune, compétente et respectée. Pendant ce temps, dans son Cameroun natal, un certain Paul Biya, 92 ans, se prépare encore et toujours à briguer un nouveau mandat, transformant l’élection en une mascarade. Mais là-dessus, silence absolu de Nathalie Yamb. L’agitatrice choisit ses combats, et visiblement, ils ne sont jamais là où brûle l’incendie.

‎L’activisme de salon contre le pragmatisme des bâtisseurs

‎Le contraste est saisissant. Nathalie Yamb parle fort, tweete beaucoup, accumule les slogans vides. Mais que propose-t-elle de concret pour l’avenir des peuples africains ? Rien, sinon la sempiternelle rhétorique anti-occidentale récitée comme une litanie. Et ironie suprême : elle combat « l’Occident colonisateur » tout en s’y installant confortablement, bénéficiant de ses services publics, de sa sécurité et de son confort. Comme l’a dit si justement Simon, 12 ans, après avoir lu un de ses textes : « La charité bien ordonnée commence par soi-même. »

‎Wadagni, le profil que l’Afrique attend

‎Face à cela, Romuald Wadagni incarne exactement ce que l’Afrique moderne réclame : des leaders compétents, intègres et visionnaires. Ministre de l’Économie et des Finances, reconnu et respecté à l’international, il a hissé le Bénin au rang des pays les mieux notés en Afrique sur les marchés financiers. Grâce à lui, les réformes structurelles se sont multipliées, la confiance des investisseurs s’est renforcée et l’économie béninoise a gagné en résilience. Là où les uns agitent des pancartes, lui fait parler les résultats.

‎Accuser un tel profil d’être un « pion françafricain » est non seulement absurde mais surtout révélateur d’une stratégie : discréditer tout dirigeant africain qui réussit hors des circuits populistes. Wadagni dérange, car il prouve par l’exemple qu’on peut être Africain, moderne et compétent, sans céder à la facilité des slogans.

‎Entre théâtre et action, le choix est vite fait

‎Au final, Nathalie Yamb ressemble à ces commentateurs de bord de terrain qui critiquent les joueurs sans jamais oser entrer sur le terrain eux-mêmes. Ses diatribes font le buzz, mais elles ne construisent rien. Romuald Wadagni, lui, bâtit. Et l’Histoire retiendra toujours davantage les bâtisseurs que les agitateurs.

‎Oui, Madame Yamb peut continuer à s’indigner sur Twitter. Mais pendant qu’elle s’agite, Wadagni trace le chemin. Et pour le peuple béninois, le choix est clair : entre l’activisme de salon et le leadership de terrain, l’avenir appartient aux bâtisseurs.

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