À l’issue des délibérations, la Cour a autorisé un ajustement de la période de dépôt des candidatures, désormais prévue du 15 au 19 novembre 2025, au lieu de la période initialement fixée du 8 au 12 novembre.

La décision complète de la Cour constitutionnelle sera publiée ultérieurement.

À l’approche des prochaines échéances électorales, le président de la République du Bénin a rappelé une vérité essentielle : « Les compétitions électorales ne doivent pas faire de nous des ennemis. » Une phrase simple, mais porteuse d’un message fort pour tous les citoyens.

Dans un contexte où les passions politiques s’expriment souvent avec intensité, le chef de l’État invite les Béninois à préserver l’unité nationale et la cohésion sociale. Les élections, souligne-t-il, doivent rester un moment d’expression démocratique et non une source de division ou de conflit.

Cet appel sonne comme une exhortation à la tolérance, au respect mutuel et à la responsabilité citoyenne. En démocratie, la pluralité d’opinions est une richesse. Les divergences politiques ne devraient jamais briser les liens fraternels qui unissent les fils et filles d’un même pays.

Pour le président, la véritable victoire après chaque élection ne réside pas seulement dans le triomphe d’un camp, mais dans la capacité des Béninois à demeurer unis, à se tendre la main et à œuvrer ensemble pour le développement du Bénin.

Ainsi, ce message présidentiel résonne comme un rappel à la sagesse : les urnes passent, mais la nation reste.

Mais la rencontre a aussi mis en lumière des divergences. Si l’Égypte et la Turquie ont récemment rétabli leurs relations, Le Caire reste méfiant face aux ambitions régionales d’Ankara. Selon des sources diplomatiques égyptiennes, l’Égypte soutient la reconstruction de Gaza, mais refuse que la Turquie y joue un rôle politique dominant.

Cette réunion illustre les tensions persistantes autour de la gestion post-conflit de Gaza, malgré le cessez-le-feu toujours fragile en vigueur depuis deux semaines.

Les historiens estiment qu’il y a eu entre vingt et trente grandes civilisations majeures, mais plus d’une centaine si l’on inclut les sociétés régionales et locales.

Parmi les plus anciennes figurent la Mésopotamie, berceau de l’écriture et de la première administration organisée, l’Égypte ancienne avec ses pharaons et ses pyramides, ou encore la civilisation chinoise, dont la continuité historique impressionne depuis plus de quatre millénaires.

Au fil des siècles, d’autres sociétés ont brillé par leur puissance et leur rayonnement : la Grèce antique et la Rome impériale en Europe, les empires indiens Maurya et Gupta en Asie, les civilisations mayas, aztèques et incas sur le continent américain, ou encore les empires africains du Ghana, du Mali et du Songhaï, symboles d’une Afrique savante, marchande et prospère.

À partir du Moyen Âge, de nouvelles puissances culturelles se sont imposées : la civilisation islamique, l’Empire byzantin, ou encore les civilisations chinoises et japonaises.
Puis, à partir du XVIᵉ siècle, la civilisation occidentale a progressivement pris une dimension planétaire, portée par les grandes découvertes, la révolution industrielle et la mondialisation.

Aujourd’hui, certains chercheurs parlent d’une civilisation mondiale, façonnée par la technologie, l’économie et la culture globale.
Mais derrière cette apparente unité, les héritages des civilisations anciennes continuent d’influencer les identités et les rapports entre peuples.

De Sumer à Internet, de l’écriture cunéiforme à l’intelligence artificielle, l’humanité reste l’héritière de milliers d’années de civilisations.

À la suite de cette rencontre, une réunion tripartite entre la Cour, les représentants des duos candidats et le collège de médecins se tiendra afin d’arrêter le calendrier officiel de la visite médicale obligatoire.

La presse est conviée à couvrir cette double rencontre, signe d’une transparence et d’une ouverture du processus électoral à l’ensemble des acteurs institutionnels et médiatiques.

Relayés par la presse indienne, ses déclarations ont suscité de nombreuses critiques. Plusieurs médias ont dénoncé un manque de respect envers les traditions hindoues et ont souligné les origines tamoules et hindoues d’Usha Vance.

Face aux réactions, J.D. Vance, catholique converti en 2019, a précisé : « Oui, j’aimerais qu’elle partage ma foi, mais chacun a son libre arbitre ». Il a également qualifié de « sectarisme anti-chrétien » les critiques émises à son encontre.

En Inde, cette polémique est interprétée comme un exemple des tensions entre foi et politique aux États-Unis, et certains observateurs y voient l’influence croissante d’un courant chrétien nationaliste au sein du mouvement conservateur américain.

Interrogé sur l’avenir du dirigeant vénézuélien, Trump a répondu : « Je dirais que oui, je pense que oui », laissant entendre que Washington estime proche la fin du régime chaviste.

Cependant, le président américain a écarté l’hypothèse d’un conflit armé entre les États-Unis et le Venezuela, affirmant qu’il ne « pense pas » qu’une guerre éclate entre les deux pays.

Ces déclarations interviennent dans un contexte de fortes tensions entre Caracas et Washington, sur fond de sanctions économiques et d’isolement diplomatique du régime Maduro.

Selon le bureau du Premier ministre, l’identification a été menée par l’Institut national de médecine légale, en coopération avec la police et le rabbinat militaire. Les familles des victimes ont été informées.

Avec ces trois soldats, le Hamas a désormais restitué les corps de 20 otages sur les 28 qu’il s’était engagé à remettre dans le cadre des récents échanges humanitaires.